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L'autrice raconte son parcour d'accompagnement de ses parents, atteind d'Alzheimer, pendant leur fin de vie

Née en Pologne en 1923 dans une région attribuée à l'URSS par le traité de Riga, l'auteure raconte les persécutions soviétiques, l'exécution de ses deux oncles et la famine de 1932-1933, la déportation au Kazakhstan en 1936, son désir de devenir médecin et sa longue route pour y parvenir.

L'autobiographie du grand écrivain nigérian, prix Nobel de littérature en 1986, dans laquelle il relate son enfance dans le petit village d'Aké, au Nigeria. Titre prescrit d'une des oeuvres pour les classes préparatoires scientifiques, accompagné d'un dossier critique en lien avec le thème au programme qui est l'enfance.

Alexandra David-Neel est la plus célèbre des explo­ratrices. Déguisée en mendiante, elle est la première femme européenne à pénétrer en 1924 dans Lhassa, la capitale du Tibet, alors interdite aux étrangers. On croit connaître le destin de cette infatigable voyageuse, mais sait-on qu’Alexandra David-Neel (1868-1969) a été une féministe de la première heure, journaliste, cantatrice, authentique anarchiste ne voulant dépendre de personne ? Pour percer le mystère de la vie de cette femme incroyable, il y a un repère, un fil conducteur auquel Laure Dominique Agniel redonne toute sa place : son mari, Philippe. L’ami, le confident, le seul avec qui elle laisse tomber le masque.

L'auteure raconte son enfance de familles d'accueil en orphelinat à la fin des années 1940.

L'écrivain voyageur se rend en Galice, en Bretagne, dans les Cornouailles, au pays de Galles, sur l'île de Man, en Irlande et en Ecosse par voie de mer afin de saisir le merveilleux. Il décrit une exploration poétique et philosophique du globe en même temps qu'une quête initiatique à la recherche des fées.